Alexandre le Grand : une fiche à compléter


Filiation
Mon père est celui qui aime les chevaux : ……………………II. Il dit descendre de
celui qui a vaincu l’Hydre et de nombreux autres monstres : …………………..
Ma mère, Olympias, se prétend de la famille du fils de Pelée et Thétis, célèbre héros de la guerre de Troie au pied fragile : ………………………. . Quant à moi, mes soldats me reprocheront de me prendre pour le fils de ……………., le dieu des dieux.

Les Macédoniens
Ils sont considérés par les Grecs comme des gens un peu simples et des …………….. : qui ne parlent pas grec. Ce mot vient d’une onomatopée : les Grecs ne comprennent rien d’autre à leur langue que des ‘brrrr brrrrrr’.

Mon meilleur ami : je le rencontre à l’âge de 12 ans. Je suis le premier à pouvoir l’approcher. Tout le monde le pensait trop sauvage pour pouvoir être dompté : ……….

Claude François me doit beaucoup : si je n’avais pas fondé …………….., il n’aurait pas pu chanter …………………. ! Consacré pharaon en 332 par les Egyptiens, ce n’est pas moi qui ai fait construire le célèbre ……………., merveille du monde qui tient son nom de l’île de Pharos sur laquelle il est construit en -279. En revanche, mon général Ptolémée 1er fait ériger la ……………………. détruite en 47 par un ………………….. A ma mort, Ptolémée deviendra maitre d’Egypte ; lui succédera une longue lignée de Ptolémée, dont Ptolémée XIII, le frère-époux de la belle ………………

L’armée macédonienne
Je suis le nom de la ‘muraille’ formée par un groupe de soldats. Je suis aussi une partie du corps humain. Généralement par trois, le pouce n’en compte que deux. Je suis la …………………….

L’armée macédonienne compte de nombreux éléments : des cavaliers, des fantassins, des femmes (10000 enfants naitront pendant les campagnes d’Alexandre !) mais aussi des
-sarisses (longues piques de 4 mètres de long)
-archers
-boucliers
-sonneurs de trompe
-éclaireurs
-lanceurs de javelots
A toi de les intégrer à ces mots casés pour découvrir le nom d’une autre sorte de soldats, définie par les lignes 6 et 7


Connais-tu l’histoire du nœud Gordien ?
………………………………………………………..……………………………………………………………
………………………………………………………..……………………………………………………………

A la mort de mon grand ennemi Darius, chef des perses assassiné par ses hommes,
*je lui organise des funérailles royales
*je fête l’événement en me soûlant (on dit que j’étais ivre quand j’ai ordonné l’incendie de Persépolis en 330 l’année suivante).
*je tombe en dépression : que faire s’il n’y a plus d’ennemi à combattre ?
Rappelez-vous que les valeurs défendues à l’époque (le courage, la loyauté et la valeur à la guerre) ne sont plus aussi estimées aujourd’hui !


La bataille d’Issos, mosaïque, Pompéi

Statue équestre, Babylone


CORRECTION

Philippe, Hercule, Achille, Zeus
Barbares
Bucéphale
Alexandrie, Alexandra, phare, bibliothèque, incendie, Cléopâtre
La phalange

A    R    C    H    E    R    S
S    O    N    N    E    U    R    S
D    E        T    R    O    M    P    E
E    C    L    A    I    R    E    U    R    S
B    O    U    C    L    I    E    R    S
J    A    V    E    L    O    T    S
L    A    N    C    E    U    R    S        D    E
S    A    R    I    S    S    E    S
Le nœud gordien
Selon la légende, Midas se rendit sur un char à l’assemblée populaire, dont les membres, violemment opposés, s’apprêtaient à élire le futur souverain. C’est alors que la prédiction d’un oracle (serait roi celui qui viendrait à eux sur son char) leur revint à l’esprit et les électeurs choisirent Midas (homme pauvre entrant dans la ville sur son char à bœufs) pour monarque.

La plupart des versions du même mythe font de Gordias, père de Midas, le fondateur du royaume de Phrygie. Cette hypothèse se justifie d’autant mieux que Gordias donna son nom à Gordion, la résidence royale des rois phrygiens. Et toujours selon la légende, le timon du char du roi Midas était lié par le fameux « nœud gordien », dont quiconque, selon la prophétie, parviendrait à le dénouer deviendrait le maître de l’Asie — exploit qu’accomplit Alexandre.
En 333 av. J.-C., Alexandre le Grand tenta de défaire le nœud. Ne pouvant trouver une extrémité pour le défaire, il le trancha d’un coup d’épée (la « solution d’Alexandre »). Une autre interprétation affirme qu’il demanda à l’un de ses soldats de le trancher. Alexandre poursuivit ensuite ses conquêtes en Asie, mais la prophétie pourrait n’être qu’une propagande inventée plus tard en son nom.

Darius recevra des funérailles royales.

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