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Journaux de bord des élèves de 5ème3


Aujourd’hui, le 29 août 2007, moi Marcus, je vais partir en exploration pour découvrir des îles aperçues au loin lors d’un voyage passé. Je partirai demain du port de Cyprien avec mon bateau à voiles.


C’est enfin l’heure de partir, toute ma famille est là. Nous remontons l’ancre et partons. Nous sommes en plein milieu de la mer Méditerranée. Je me sens perdu. Quand je descends en soute, je sens une odeur nauséabonde : c’est une fuite d’eau au niveau de la coque. Toute notre nourriture a pourri et le peu de vivres qu’il nous reste a été mangé par les rats que j’essaie de chasser en dehors du bateau depuis des semaines


Tout les éléments se déchaînent quand une tempête s’annonce. Nous sommes secoués par de violentes vagues qui déferlent sur nous. C’est presque impossible de rester debout ! Quand nous laissons tomber, le bateau s’échoue sur une île magnifique avec des fleurs partout. Nous avançons dans l’île, nous apercevons un village avec des personnes qui ont des têtes de chien et un corps d’homme. Ils vénèrent un grand chef nommé Fourras. Pour entrer dans ce village, il faut passer une série d’épreuves, ce qui pour moi ne me plaisait pas. Comme ces hommes me paraissait bizarre!


Voici maintenant plus de 6 mois que nous poursuivons notre chemin grâce aux épreuves que nous avons réussis. Nous sommes repartis avec plein de bananes, de noix de coco et d’eau, mais cela ne change pas mon avis sur ces personnes. Nous avons réparé le bateau et nous repartons maintenant avec un bateau tout neuf ! Quelques jours plus tard, nous arrivons sur l’île que nous avions aperçue il y a de cela quelques années. Nous avons décider de l’appeler Hawaï II.



BOSCH Emile




Je me nomme Lisa McKffer, je suis la capitaine du navire The Twins Gold. J’ai décidé de partir découvrir les secrets de la carte au trésor que ma maman m’avait laissée. Ce matin du 13 août 1980, je réveille mon équipage (Mousse, Tomy, Ben) pour partir à l’aventure. Nous partons pour aller découvrir l’or qui serait caché en Martinique.

Nous levons l’ancre et j’ordonne : « Mettons les voiles ! » Ben était aux commandes avec Tomy. Mousse était chargée de la nourriture mais il l’avait oubliée. Je pense sans cesse au fait de voir un autre navire pour nous aider… Soudain, Ben crie : « Tempête ! Tempête ! Attention ! » Nous allons tous nous réfugier mais quelques secondes plus tard tout était revenu à la normale. Soudain, nous entendons un craquement. C’était la coque du bateau. Nous continuons néanmoins notre chemin à travers l’océan Atlantique. Quelques heures plus tard, le soleil se couche donc tout le monde se brosse les dents et va se coucher.

Nous sommes le 15 août 1980. La tempête recommence… Mais cette fois, elle ne s’arrête pas. Le bateau fait naufrage , et nous nous échouons sur une plage. Tout le monde s’en sort. Soudain nous entendons des chants. Tout l’équipe et moi s’approchent. Et nous voyons toute une tribu en cercle en train de chanter et danser. Ils ont tous et toutes de longues chevelures. Et tous étais maigres. Les femmes sont vêtues de tunique en lin entourée d’une ceinture. Les hommes sont torse nu et portent une jupe en coton. Tous sont pieds nus. Les couleurs qu’ils portent sont plutôt claires. Soudain une dame s’approche et nous propose d’aller danser et chanter avec eux. Elle nous fait goûter leur tradition, « le jus de fruit de passion .C ‘est succulent ! J’adore ce peuple car ils sont très généreux et accueillants.

Je repense au bateau qui s’était échoué. Je me demande comment nous allons repartir. J’avais laissé la carte au trésor sur le navire. Nous décidons de rester sur l’île encore un peu. Mais soudain, je vois un bateau au loin au pavillon de pirates…

COLLEATE Lola




Aujourd’hui, c’est le grand jour ! Je suis prête à prendre le premier bateau venu de Paris pour découvrir le monde de la mer. Il paraît qu’il y a un grand trou noir dans la mer.

Nous sommes le 2 août 2019. Arrivé à l’endroit précis, la vue était magnifique, nous avons même trouvé une île où nous pourrons dormir. Quand nous avons redémarré le bateau, il n’avait plus d’essence, nous avons donc passé une bonne heure, Clémence et moi, à remettre de l’essence et à essayer de le faire redémarrer. Au bout d’un moment, nous découvrons que le bateau a un problème technique. Il nous faut donc des outils, alors nous avons nagé jusqu’à l’île.

Arrivées là-bas, nous découvrons un magnifique endroit, des belles fleurs, du sable chaud et doux. Les autochtones ont un très bon cœur car elles nous ont très bien accueillies. Les hommes sont plutôt grands et sont musclés, ont de longs cheveux bouclés bruns, et ont la peau noire. Ils sont très souvent torse nue et portent des tongs. Les femmes sont très belles, métissées, plutôt petites. C’est très rare qu’elles soient grandes mais elles sont fines, ont de longs cheveux longs bruns et bouclés, et sont souvent en maillot de bain. C’est un peuple vraiment amical car ils sont toujours de bonne humeur, respirent la joie de vivre et sont enthousiastes.

Cela fait maintenant un mois que nous sommes sur cette île, il faut dire que Clémence et moi sommes bien intégrées, nous avons d’ailleurs réussi à réparer le bateau. Nous avons aussi découvert qu’il y avait un volcan sur l’île. Un jour, le volcan explose pendant la nuit. je décide donc de ne prendre que les enfants comme il n’y avait pas beaucoup de place. Au bout de quatre heures sur le bateau nous décidons de nous arrêter pour essayer de pêcher. La nuit commence à tomber. Je décide donc de rester éveillée pendant que les autres dorment paisiblement.

FOERTSCH Brihana.



En ce 25 octobre 1438, moi Oliver Queen, me trouve en Espagne au port de Malaga. Je partirai au Japon en bateau, pour découvrir la cuisine Japonaise. Mon bateau se nomme Eliot Roi des Chats. Je commence à partir, mais une tempête arrive au loin. Il faut faire vite pour sortir du port !

Je suis en mer, dans la tempête. Je vais arriver dans l’océan Indien. La tempête vient de se calmer, il fait chaud et très humide. La nourriture n’a pas été touchée par les intempéries. On était bien protégé !

Alors que la tempête vient de s’arrêter, mon bateau a changé de cap et nous avons accosté près d’une île totalement inconnue. Elle est assez petite et se nomme : l’île de la tortue. Il y a des bananes, des kiwis, d’autres fruits exotiques et beaucoup de tortues et de mygales. Vient à nous, une famille très gentille. Ses membres sont habillés comme des nobles . Ils nous offrent un bon repas en nous racontant la tradition de la course de la tortue qui a lieu tous les dimanches : la tortue qui perd se fait manger par une mygale et sa carapace servira ensuite de saladier. Je trouve que cette famille est très accueillante et très gentille mais étrange à cause de leur tradition.

Aujourd’hui 14 mai 1439 je suis toujours sur l’ île de la tortue. Je me prépare pour repartir en Espagne à Malaga .



Fourrier Noa



Le 15 août 1715, en Bretagne (France).

Je m’appelle François Yanis et suis un colonel français. Je pars en exploration avec le bateau Coquillage, qui est utilisé en Espagne pour transporter des marchandises. Il a été fabriqué il y a sept ans en Angleterre. Je l’ai reçu pour partir à l’aventure. Je naviguerai aux alentours de l’Islande, pour découvrir de nouvelles îles et pour rencontrer de nouveaux peuples.

Le 17 août 1715, en mer vers l’Islande.

Nos sommes treize à bord. Nous avons rempli le bateau de nourriture et avons levé les voiles. Deux jours plus tard, nos matelots voient une île. Nous nous arrêtons et partons l’explorer pour trouver de la nourriture. Mais nous revenons au bateau les mains vides. Nous remarquons que le mât est cassé et que nos vivres ont étrangement disparu de la cale. Cependant, les matelots réparent le mât, et nous repartons. Après quelques heures, nous voyons un bateau avec une tête de mort comme pavillon. Heureusement, il ne nous attaque pas. Quelques jours plus tard, nous commençons déjà à manquer de nourriture, notre hygiène n’est pas bonne et il y a des orages.

Le 19 septembre 1715, en mer vers l’Islande.

Nous sommes sur mer, il y a beaucoup de vent. Tout à coup, un mât se casse et fait un énorme trou dans le navire qui commence à couler. On prend deux barques et, plus tard, on commence à voir une île et on s’y pose. Il y a de la végétation, des perroquets, beaucoup de fourmis et de singes. On explore l’ île. Soudain, on trouve des tentes et des personnes en sortent. Elles sont petites, ont des cheveux et sont maigres. Elles ont toutes des petites robes ou des t-shirts. Elles croient en plusieurs dieux. C’est un peuple qui vit avec pas grande chose, mais quand les voyageurs passent sur l’île, il les aide comme il le peut. Ce sont des hommes et des femmes qui leur montrent comment se nourrir, pêcher, chasser avec peu d’équipement. Ils leur enseignent leurs chants, leurs danses. C’est un peuple très généreux !

Le 3 octobre 1715, sur l’île.

On s’amuse beaucoup ici. Cependant, on part de l’île pour continuer notre aventure. Nous sommes sur mer et nous voulons aller en Espagne. Tout à coup, on s’aperçoit qu’on n’avait oublié de prendre des provisions sur l’île. Heureusement, on voit une autre île et on s’y pose. On prend le maximum de nourriture possible et on s’en va. On est presque en Espagne. Les matelots sont soulagés d’être bientôt arrivés car ces péripéties leur avaient fait d’énormes boules au ventre. C’est bon, on est arrivé en Espagne ! On peut se reposer !


FRANÇOIS Yanis





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Je navigue sur un océan. Soudain, une grosse vague m’emporte et je me suis évanoui. Puis je me suis réveillé sur une île inconnue. Il y avait des cocotiers, de hauts arbres, des barques échouées. La population est très bizarre parce que ces personnes me font peur. Leurs yeux me donnent la chair de poule ! Mais de temps en temps, je les trouve sympathiques avec moi, et plutôt jolies avec leur cape. Cependant, certains étaient sévères avec moi parce qu’ils n’avaient aucun respect pour moi.


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GRESSET Mathéo



Le 2 Mai, avant de partir en mer, il faut prévoir les provisions et les ranger dans la soute. Le lendemain, moi Husson Tom, capitaine du bateau se nommant Le Marin, décide de partir du port du Havre avec mon bateau en espérant sauver la vie des personnes atteintes du sida. Mon équipe est composé de trois botanistes et de vingt-quatre marins. Je dois chercher une plante aux couleurs rouge et jaune qui ne pousse que dans le sud de l’Amazonie.


Le 24 août 2000, nous arrivons dans l’océan Pacifique. La mer est déchaînée, le mât et la voile se cassent donc en deux et la proue commence à se détacher. Je suis emmené par la mer mais je réussis à reprendre le contrôle de la situation. Cependant, le pavillon s’envole. Dans la soute est entreposé du poulet pour tout le monde mais on ne pouvait pas se laver ni même boire de l’eau à cause du sel marin.


Le 30 août 2000, le vent nous pousse vers une île inconnue. Mon bateau s’échoue sur une plage. Je vois une pancarte contre un arbre qui montre le nom de cet endroit : l’ Île du volcan. Il y a de magnifique plantes, des baobabs et des arbres aux feuilles roses et bleues. Mes hommes et moi voyons des rochers sur du sable jaune fluo qui brille. Je prends une fiole pour y mettre du sable. Les habitants ressemblent à des nains. Ils sont plutôt petits, maigres avec des longs cheveux. Ils ont tous une chemise bleue, un pantalon rouge avec un matière étonnante entre le coton et le tissu de lin, des bottes noires. Je les trouve joyeux et confiants. Ils prient tous les soirs pendant une heure pour leur dieu étrange, Annamaka, qui ressemble à un chien à deux têtes, à quatre bras et à six jambes.


Le 14 septembre 2000, moi Husson Tom, je pars de l’île inconnue pour poursuivre mon aventure, j’arrive en Amazonie et je me mets à chercher cette fameuse plante pendant des jours. Puis, un jour, je vois la plante qui va sauver la vie des milliers de personne. Je la prends et je pars. On remonte l’ancre, on largue les amarres. Nous partons en mer mais au bout de trois heures, la mer se déchaîne et notre navire se fait attaquer par des indiens. Notre bateau coule mais heureusement, on avait une chaloupe ! Puis nous rentrons au Havre. Pendant cette aventure j’ai perdu 12 hommes et deux botanistes.


HUSSON Tom



Quimper, le 3 mars 1593.

Je me nomme Selen Kunt, je suis marchande. Je quitte le port de Quimper le 3 mars 1593. Je navigue en mer pour transporter de la marchandise, des objets rares qui brillent, au Canada. Je vais les transporter pour les revendre là-bas avant de retourner à Quimper.



Dans l’Océan Atlantique, le 4 mars 1593.

Je navigue, je dois me nourrir, dormir et faire attention à mon hygiène. À cause des fortes rafales de vent, la voile s’est déchirée. Heureusement, le vent s’est calmé. J’ai recousu la voile avec du fil de laine. Je n’ai plus à manger ni à boire, donc je me réapprovisionne en capturant des insectes et en cueillant des fruits exotiques lors d’escales sur diverses îles.



Sur l’île perdue, le 5 mars 1593.

Une grosse tempête s’abat sur moi, en plein Océan Atlantique ! De grandes vagues frappent le navire, le bois se brise. Le temps se calme peu à peu. Il ne me reste qu’ une planche en bois sur laquelle je me trouve. Une vague déferle sur moi. Je me suis évanoui et me réveille sur une île perdue. C’est une île avec toutes sortes de feuilles grimpantes et de manguiers. L’île est recouverte de sable. Je rencontre des personnes très généreuses, qui m’accueille chez elles. Elles portent des pagnes. Leurs traditions sont différentes des nôtres. Par exemple, tous les ans, les autochtones préparent une fête en l’honneur de leur dieu pour rassembler le peuple : ils dansent, chantent, mettent des déguisements. Je pense que leur culture est vraiment différente de la mienne.



Au Canada, 26 mai 1593.

Aujourd’hui, c’est mon dernier jour car il faut que je récupère la marchandise au Canada. Je quitte les personnes sur l’île, je monte sur le navire pour traverser l’océan Atlantique. Me voilà arrivée au Canada, ce pays formidable ! Mais il fait froid, donc je file prendre la marchandise. Je monte sur le navire, je passe la nuit au Canada et entame le chemin du retour le 27 mai 1593.

KUNT SELEN



Je suis au port de Marseille le 5 juillet 2019. Nous allons emprunter la route maritime en bateau. J’ai un navire très grand comme ses voiles, le mât est très haut, la coque immense. J’ai oublié de me présenter : je m’appelle Emma Litzenbourger. J’aime la mer. Je suis motivé à l’idée de me baigner, de découvrir de nouvelles terres, de rencontrer de nouvelles personnes et de voir ce que cela fait de vivre quelques jours dans un bateau.



Pendant le voyage, je remarque que les vagues sont extraordinaires et effrayantes. Elles frappe la coque, le mât principal tremble, les voiles se secouent et le pavillon bouge dans tous les sens. La proue tient bien en ne bougeant pas. On voit des sous-marins, des dauphins, des tortues marines. Il fait chaud donc on peut bronzer. On lit, on danse, on parle et on peut écouter de la musique. On stocke la nourriture dans des glacières. J’ai une cabine individuelle et une salle de bain où je peux me doucher et me brosser les dents. Mais j’ai un peu le mal de mer.



Nous nous sommes arrêtés car le bateau a eu une collision entre un rocher et la coque. On rame jusqu’à une île inconnue. On ne voit rien d’étrange alors on rentre dans la forêt. Tout à coup, on entend des bruits qui sont inexplicables ! L’île est recouverte de fleurs et d’arbres, les fleurs sont venimeuses mais leurs pétales servent à faire des médicaments. Des naturels nous sautent dessus. Les naturels nous attachent autour d’un arbre et nous parlent. Ils ont des feuilles comme habits pour le corps, ont les dents orange, des cheveux courts, même les femmes ! Ils font une danse autour de nous : ils chantent, dansent, crient, font de la musique. Quand il y a des personnes qui viennent sur leur île, les naturels font toujours cela, c’est leur tradition ! Je suis impressionnée car les naturels ont des enfants avec des tatouages, des sortes de grandes feuilles de la poitrine jusqu’aux pieds. Je les trouve quand même étranges car ils ne nous ressemblent pas !

LITZENBOURGER Emma



Je m’appelle Claire Magnan, capitaine du bateau l’Aurore. J’ai décidé de partir pour l’Australe en ce 24 février 1856, du port de Brest. Avant de quitter le port, j’annonce à mon équipage que notre but sera de faire des recherches sur les plantes et les animaux puis aussi de découvrir de nouvelles cultures. Nous ramènerons aussi des prélèvements de ces plantes et fruits, en France.


Aujourd’hui, le 9 Mars 1856, nous sommes en plein océan Pacifique. Le temps est orageux, venteux, humide et chaud. Nous n’avons plus beaucoup de vivres et nous ne nous lavons plus car la mer est infestée de limaces et a une odeur insupportable ! Notre bateau a commencé à se dégrader car les voiles et le pavillon se déchirent à cause du vent. Le mât bouge d’ailleurs dans tous les sens. La coque, la proue et la poupe sont envahies par les limaces. J’espère que nous arriverons bientôt !


Le 29 mars 1856, nous avons décidé, moi et mon équipage de nous arrêter pour reprendre des forces.Nous arrivons donc sur une île où l’on pouvait voir des fruits et fleurs au loin. Il y avait aussi beaucoup d’animaux comme par exemple des singes, des perroquets etc. À un moment, je vois un homme venant vers nous. Il est habillé avec une sorte de tunique en laine et il est pied-nu. Il a des cheveux longs et bruns. Il est assez petit et fin. Il nous a demandé de le suivre. Nous l’avons suivi et il nous a emmené dans un village avec des hommes et des femmes habillés de la même façon que l’ homme qui nous avait amené jusqu’ici.

MAGNAN Claire


Mon nom est Michel. Le 25 septembre 1784, je pars avec le capitaine Jack sur son navire, le Bornus. Je prends la mer en Russie pour l’Amérique avec un équipage de quinze personnes. Nous sommes tous heureux de partir pour cette grande aventure ! Nous devons livrer une cargaison de mousquets à l’armée américaine.

Voilà dix jours que nous sommes partis. Une grosse tempête s’est abattue sur nous en pleine mer des Tchoukches. Un mât s’est brisé. À tribord et à bâbord, l’eau s’infiltre dans la cale. La nuit a été très longue ! Au matin, le bateau est toujours sur l’eau mais la cale est inondée donc les vivres sont perdus. Comment allons-nous manger ? L’équipage est épuisé et trempé. D’ailleurs, nous n’avons plus rien pour nous changer. Ce qu’il y a de bien, c’est qu’avec la pluie, nous sommes propres, bien qu’affamés !

Le 1 janvier 1785, on trouve une île avec beaucoup de fougères et de chênes. Des géants arrivent, cheveux longs, musclés, avec une veste en coton et des bottes en cuivre. Ils ne parlent pas notre langue mais ils étaient très gentils ! Pour respecter leurs traditions, j’ai dû boire une soupe étrange qui n’était pas très bonne ! Nous sommes restés pendant un mois sur cette île.

Début février, je pars seul de l’île en y abandonnant mes collègues. Je pars vers la Russie pour rentrer chez moi. Le seul problème, c’est que j’ai rencontré en route l’armée française…

MARQUE Antoine

Je m’appelle Alexandre McGregore, capitaine du The Blue Dragon. Nous sommes le 7 janvier 35 754. Je pars du port galactique de Paris avec mes trois fidèles partenaires qui sont mon chien Tyrone et mes deux chats. Je souhaite découvrir une nouvelle galaxie aux planètes inconnues de tous.

Nous sommes le 11 janvier et je suis aux abords de Mars. Les conditions spatiales sont assez bonnes même si une pluie de météorites a abîmé la poupe et le mât. On a de la nourriture à foison, le bateau est bien oxygéné, il y a des douches et des lits donc tout le confort qu’il nous faut !

Nous sommes le 20 Juin 35 754. Nous avons dû atterrir sur une planète inconnue à cause d’un trou noir qui avait abîmé la coque du bateau. Cette planète est très étrange car les animaux sont comme ceux de la terre mais ceux qui doivent être petits sont grands et ceux qui doivent être grands sont petits. Il y a des fruits qu’il n’y a pas sur Terre. Au loin, j’aperçois un petit village puis ses habitants qui semblent être comme nous autres, humains de la Terre. Leur grande tradition est de s’habiller de manière colorée pour célébrer la fête des couleurs tous les premiers samedis du mois. Je suis très heureux car ce peuple est très chaleureux. Chez eux, il n’y a pas d’argent. Tout est à tout le monde, il n’y a pas de guerre. Je suis donc content d’être sur cette île.

Le 26 Septembre 35 766, cela fait plus de dix ans que je suis sur cette île que j’adore. Mais je dois partir et arrêté mon voyage car j’ai rempli ma mission qui était de découvrir un nouvelle galaxie. Je vais quitter cette planète et rapporter des souvenirs. Je retourne sur Terre pour raconter mon voyage à mes amis.


MATHIS Yoan



Mon aventure commence au Canada en 3558. Je suis Mathieu Snick et pars en bateau pour une bonne cause. Mon navire se nomme le Niavion. C’est une frégate de guerre qui a douze canons électriques. Je dois arriver en Afrique pour secourir et nourrir les pauvres gens.



Mon bateau a des voiles en titane, un pont en argent, une coque en métal. On jette l’eau non potable à bâbord et à tribord. Je navigue dans l’océan Pacifique. J’ai croisé plusieurs siphons en chemin. Nous avons une alimentation équilibrée, nous mangeons deux fois par jour. Nous nous nourrissons de poissons que nous pêchons nous-même et de quelques boîtes de conserve. La météo est clémente et il pleut rarement. Nous avons aussi une bonne hygiène en nous lavant fréquemment.


Je suis arrivé sur cette île EN Y FAISANT ESCALE. Je voulais me reposer avant de reprendre les voiles. Il y a beaucoup d’animaux. Un demi-ours et un demi-loup et la flore est composée de plantes carnivores et de plantes venimeuses . La population est assez étrange. Les autochtones sont maigres, portent des shorts et des chemises à carreaux et ils ont une tradition particulière : ils dansent tous les soirs autour du feu. Je suis assez confiant en leur présence car ils sont gentils et serviables.


Je suis resté sur l’île pendant quatre mois. j’en suis devenu LE roi. J’ai abandonné mon projet de voyage même si je n’aurais pas dû car les gens en Afrique sont morts. Ma vie sur l’île se passe bien. j’aide les gens de l’île à mieux vivre et je leur donne des conseil de vie.

Menigot Elias



Je me nomme Janelle Morcq. J’aime les bateaux, c’est même pour cela que j’en ai un! Il est au port de Montrose, en Écosse. Je pars en ce 12 octobre 2006 pour la Corse afin de retrouver ma famille. Ensuite, on fera des activités, puis on ira tous ensemble faire le tour du monde.

Le 24 décembre 2007, nous nous retrouvons près de l’Équateur. Il ne fait pas très beau. Il pleut énormément! En plus, nous n’avons plus beaucoup de nourriture et nos habits sont déchirés.

Au matin du 3 janvier 2008, je me trouve sur une île que je ne connais pas. Cette nuit il a plu, et les forts courants marins nous ont emporté jusqu’à cette île. De ce fait, ma famille et moi allons découvrir l’île, tout en cherchant à manger pour pouvoir tenir plus longtemps en mer. Quand nous sommes allés dans la forêt chercher à manger, nous avons vu des fleurs, des champignons… Nous voyons aussi des animaux tels que des oiseaux, des éléphant, girafes, crocodiles…

Je suis toujours, le 18 janvier 2008, sur l’île inconnue. Aujourd’hui, je vais en forêt avec mon père pour découvrir un peu plus l’île. Nous avons rencontré des personnes tahitiennes très aimables qui nous ont donné de la nourriture et qui nous ont prêté des vêtements. Ensuite nous avons mangé avec les tahitiennes. Enfin, il est arrivé le jour où il fallait repartir.

MORCQ Janelle.





Jour 1.

En 1700, les temps sont durs car les pirates ont envahi les Caraïbes. Moi, Geralt de Rive, je me dois de partir avec le bateau de mon grand-père surnommé Le Kaos. En fouillant dans la coque du bateau, je trouve une épée en acier avec d’anciennes gravures inscrites dessus. J’entends les pirates ! Il faut que je parte.

Jour 2.

Le 28 octobre 1700, la situation météorologique est bonne. J’ai le vent en poupe ! En ce qui concerne l’alimentation, tout va bien. Donc, je suis tranquillement sur le pont. Le pavillon, la barre

et les voiles sont opérationnels et nous nous dirigeons vers le continent américain.

Jour 5.

Le 31 octobre 1700. Ce matin, en me réveillant, je vois une île exotique. Curieux je pars en sa direction. En arrivant sur l’île, je vois une quarantaine de personnes en train de travailler autour d’un arbre gigantesque avec une pancarte où il est écrit « Eucalyptus Globulus ». De très belles fleurs l’entourent. Après avoir fait connaissance, je trouve ce peuple vraiment accueillant, sympathique, ce qui me donne de l’enthousiasme ! Ils s’habillent tous et toutes de la même manière, soit en portant une chemise, soit torse-nue. Ils ont comme tradition de se réunir tous les soirs autour d’un arbre, avec du feu pour éloigner les mauvais esprits. Ce peuple représente vraiment la notion de partage et de joie. L’île est extrêmement grande et belle avec de magnifiques palmiers.


Jour 15.

Le 16 Novembre 1700, ce matin, je suis parti de l’île car je veux arriver à ma destination finale. Je me suis bien réapprovisionné et j’ai bien visité l’île. Je sais enfin ce que signifie les gravures de mon épée « Calabrasse ». Il s’agit du nom d’un chevalier qui s’était transformé en épée suite à un sort. J’arrive en Amérique et je m’y installe.

NEU Maël



Moi, Marina Delagerre, je veux partir en Sibérie pour aller faire de la luge. C’est mon rêve depuis toute petite ! Je veux en faire seule, mais avec des huskys sibériens ! Je partirai demain à bord de mon bateau La Marine des Âmes accompagnée des marins du port de Civitavecchia. Je resterai deux mois en Sibérie. Mes amis seront avec moi. Je ne veux pas seulement faire de la luge avec des huskys, mais aussi profiter de la culture sibérienne. Elle a l’air si magnifique, j’ai hâte !



Nous sommes le 27 mars, et nous arrivons bientôt à notre destination. Nous pensons que nous sommes en plein milieu de la mer de Kara. La météo est plutôt orageuse mais parfois calme avec de doux rayons de soleil. Notre réserve de nourriture est encore pleine pour une semaine. Quand on voit la terre ferme, nous nous arrêtons la nuit, nous pêchons et nous nous lavons dans l’eau douce. Sur notre bateau, le mât et la coque sont solides, le pavillon et les voiles sont faits à partir de tissus italiens. Le soir, j’aime bien me poser cinq minutes sur la poupe pour profiter du coucher de soleil.



Nous nous arrêtons sur un île car nous voyons de beaux bambous et un feu de camp avec quelques maisons en bambous. Nous ne sommes donc pas seuls sur cette île. Les crabes et les tortues sur la plage font que la faune est très maritime. Les bambous , les cocotiers et les palmiers mettent en valeur l’île. Tout à coup, un groupe d’individus arrive. Les femmes sont habillées d’une robe de tissu de lavande avec une couronne de fleurs dans leurs cheveux et les hommes, eux, portent tous un short en tissus de coton et certains hommes ont même un collier au cou avec une dent de requin. Les femmes sont grandes et maigres tandis que les hommes sont grands mais musclés. Leur reine nous accueille au côté de son perroquet. Un homme lui demande quel jour on est, et d’après elle nous sommes le 4 avril 2035. Elle nous invite à dormir pour que le lendemain on puisse partir. La reine nous loge dans une grande demeure. Nous repartons de l’île à l’aube.



Nous sommes le 15 avril et nous venons d’arriver en Sibérie. Le voyage s’est plutôt bien passé. Les marins romains viennent de repartir et viendront nous chercher dans deux mois. Pour mon anniversaire ma tante m’offre un husky encore chiot . Nous skions et après ma tante. Elle nous offre un chocolat tout chaud avec quelques marshmallows et des petits sablés au chocolat comme elle sait bien les faire ! Je n’ai pas envie de repartir dans deux mois… mais il y a encore le temps pour en profiter au maximum!

NICOLAS Manon



Aujourd’hui, le vendredi 31 mars 1161, au port de Marseille, nous nous préparons pour notre voyage en Inde. Je m’appelle Arda, je suis le capitaine d’une frégate, qui a dix canons. Nous arriverons dans deux mois si nous n’avons pas de problème en mer. Nous voyageons pour aller conquérir une riche cité remplie d’or.



Le 16 avril, notre voile s’est déchirée à cause du vent fort, mais en ce moment, nous sommes en train de la changer. La proue s’est aussi abîmée. Il faut immédiatement que nous la réparions ou sinon le mât s’écroulera. Sur notre pavillon est dessinée une tête de mort avec deux sabres qui la traversent. Nous sommes entre l’océan Atlantique et l’océan Indien. Nous avons encore beaucoup de vivres. Notre hygiène est moyenne car nous commençons petit à petit à tomber malade.



Aujourd’hui, le 18 mai 1161, nous avons devant nous une île. Je suis sûr que ce n’est pas l’inde mais nous devons nous arrêter car nous n’avons plus beaucoup de ressources. l’île est très belle, le sable est très propre. Une grande fontaine est recouverte d’herbes. Les femmes dans l’île sont très belles et naturelles, elles n’utilisent pas de maquillage. Les hommes ont pour tradition de construire toutes sortes de choses dont de magnifiques bâtiments.



le 1er juin, je suis encore dans l’île inconnue. Je me suis trompé sur l’île et ses habitants. Nous sommes pris au piège ! Le peuple n’accepte pas les inconnus, nous sommes entourés par les hommes et toutes nos armes sont restées dans la frégate. Un des pirates a essayé d’aller les chercher mais on lui a tiré dessus. Nous avons cherché de quoi nous défendre. nous avons trouvé des couteaux de boucher. Nous avons crié qu’on se rendait pour qu’il rentrent dans la maison et nous les avons surpris. nous les avons tués. Nous avons pris leurs armes et nous sommes sortis de la maison et on a tiré sur des hommes mais ils étaient beaucoup trop nombreux. Ils nous ont emprisonnés.


OZKOK Muhammed



Je me nomme Eva Prime, née le 26 juillet 1920, et suis une exploratrice, une aventurière et une scientifique. Je pars de Paris pour le Brésil le 10 août 1948 à bord du bateau The Siren, une chaloupe marron clair. J’ai pour mission de découvrir de nouvelles espèces, de nouvelles plantes et de les ramener en France, pour les examiner dans mon laboratoire.



Je pars donc de Paris et dois passer par l’océan Atlantique. Tout commence quand une tempête arrive ! Mon bateau se secoue dans tous les sens et tout à coup il se retourne et je tombe dans l’eau ! Je remonte dessus et mon cœur bat très fort ! En plus, je n’ai plus de nourriture. Les seuls choses qui sont sur mon bateau sont de l’eau et des poissons. Le mât s’est cassé, l’une des voiles s’est détachée puis envolée, le pavillon s’est déchirée et la proue est abîmée.



Nous sommes le 8 avril 1949 et la tempête s’est arrêtée. Soudain, je me rends compte que j’ai pris le mauvais chemin. J’aperçois une île au loin. Je me dirige vers l’île et je sens une odeur de nourriture. Comme j’avais faim, soif et froid, je m’arrête à côté de l’île et je vais dessus. Il y a de belles fleurs exotiques de toutes les couleurs, de beaux arbres avec différentes formes. Cela sent bon la rose ! Je vois des personnes, je me dirige vers elles et je me cache derrière une petite maison. Les filles portent de belles robes de toutes les couleurs. Elles ressemblent à des tahitiennes. Les garçons portent des T-shirts multicolores. Ces personnes ont l’air gentilles, intelligentes, propres, sont belles, souriantes, et de toutes les tailles. C’est l’impression que j’ai quand je les vois ! Elles sont pieds-nues car la végétation est douce. Un grand homme est au milieu et dit : « Chers ami(e)s, je suis heureux de vous retrouver en ce jour de fête pour célébrer la réussite du dimanche 8 avril 1903, où nous avions réussi à repousser l’envahisseur. »

PRIME EVA



Le 2 juillet 1800, moi Schaeffer Laura, ai décidé de quitter le port de Marseille. Je suis la capitaine du navire Mars. Je compte aller aux Caraïbes avec mon équipage pour y passer mes vacances et y découvrir certaines îles.

À cause d’une tempête, il reste peu de nourriture et de l’eau glacée est rentrée dans la coque. Cela sent horriblement mauvais ! Une voile s’est déchirée et le pavillon s’est cassé. Pour ne pas user trop d’eau potable, on ne se lave pas et on ne se brosse pas les dents.

Le 20 juillet, à cause d’une grosse tempête, on s’est arrêtés sur l’île la plus proche. Cette île a de la végétation, des fleurs de toutes les couleurs, du sable fin et plein d’arbres. Les hommes portent tous une tunique noire, et n’ont pas de chaussures. Les femmes portent toutes une robe blanche pour se différencier des hommes. De plus, il y a beaucoup de maisons bleues. Je trouve ce peuple d’autochtones gentil. Quand ils nous ont vus , ils nous ont proposé un verre d’eau. Nous n’y sommes pas restés longtemps car il fallait reprendre la route.

Le 30 juillet, on reprend la route mais on ne sait pas s’il nous reste assez de nourriture. Un de nos marins nous a annoncé qu’il ne nous restait pas assez de nourriture. Je réfléchis et je me dis qu’on ne pourra pas tenir longtemps ! Je leur annonce qu’on doit rentrer à cause d’une probable famine. D’ailleurs, on a soif car il fait très chaud. Heureusement, nous rentrons à Marseille le 17 août .

SCHAEFFER Laura



Jour 1.

Nous sommes le 18 juillet 1989. Moi et mes matelots allons partir du port Di Roma, qui se situe en Italie. Moi, Emilie Scher, vais aux Bahamas. Je veux découvrir cet archipel. J’y partirai en bateau à voiles.

Jour 6.

Nous sommes dans la mer Méditerranée. Malheureusement, les conditions météorologiques ne sont pas parfaites. Nous allons amarrer le bateau dans une petite crique pour nous mettre à l’abri. Nos matelots jettent l’ancre, baissent les voiles et lèvent le pavillon. La nourriture n’est pas très bonne car j’ai trouvé des vers de terre dans les fromages. L’eau est sale pour la même raison. Nous ne pouvons nous laver à l’eau de mer sans savon et bis habits sont trempés à cause de fréquentes averses.

Jour 20.

Nous repartons. Nous naviguons jusqu’à une petite île où nous nous arrêtons pour faire une grande pause. Les habitants sont très accueillants. Ils nous propose a boire et a manger… Plus tard nous visitons l’île, nous nous trouvons dans une petite forêt, avec les habitants de cette île. Dans cette forêt, nous avons trouver de nouvelles espèces. les nouvelles espèces sont très petites, elles sont toutes poilues. Après avoir visité la forêt, nous allons sur une plage, nous allons découvrir les nouveautés du mardi. Il est 20h40, et les habitants nous ramènent de la bouillie au bananes chocolat. Ils ont une tenue un peu différente des nôtres. Leurs tenues sont très courtes. Ils ont les cheveux très longs. Après avoir fini de manger, nous repartons enfin. Cette petite escale nous a beaucoup plus. les autochtones sont très accueillants.

Jour 21.

Nous sommes le 8 août 2019. Nous sommes en train de partir pour les Bahamas. Nous sommes pressés d’arriver à destination, dommage que nous devions quitter cette île inconnue car ses habitants étaient très gentils. Nous parcourons les mers et les océans. Il y a beaucoup de vagues, elles font plus de 3 mètres ! Nos provisions se sont toutes envolées. Donc nous allons nous abriter dans une crique quelques minutes le temps de remettre tout en place. Plus tard, nous repartons. Les vagues sont plus hautes… Notre bateau s’est brisé en deux et tous les matelots sont malheureusement décédés. Nous ne pourrons pas terminer ce voyage. Cependant, grâce au vent et aux vagues, une barque vient jusqu’à moi. J’ai pu rebrousser chemin et m’arrêter sur une île.

SCHER Emilie


Jour 1

Cela fait deux semaines que nous sommes partis à cause de l’explosion de la Terre. Nous devons donc trouver une nouvelle planète habitable. Nous sommes sur le Space Boat, navire de guerre volant. Je suis le capitaine de ce navire, je m’appelle Noa Blirer.



Jour 2

Le mercredi 19 septembre, nous sommes toujours en train de voyager. Cependant, nous sommes déjà à cours d’eau et de nourriture. L’hygiène est correcte grâce au robot nettoyeur. Nous devons nous dépêcher de trouver cette nouvelle planète habitable ! C’est pour cela que nous nous dirigeons vers une nouvelle galaxie, où nous espérons trouver la planète Sanctum.



Jour 3

Mon vaisseau s’est écrasé sur une planète étrange. On dirait une jungle ! Il y a des animaux très hostiles tout comme les humains qui s’y trouvent. Je me suis à peine approché qu’ils m’ont attaqué et se sont mis à grogner. Alors, je me suis éloigné et j’ai construit une cabane. Je pense que je vais rester ici le temps de réparer mon vaisseau.

SOUCHON Tristan



Je me nomme Regard noir, capitaine du navire La Mars. Je décide de prendre les voiles le 10 janvier 1789. Je quitte le port de Montrose, en Écosse. Je pars apporter de la nourriture en Afrique pour les enfants qui en ont besoin.

Nous sommes le 10 février 1789, mon navire navigue en mer Méditerranée. Les conditions météorologiques ne sont pas terribles. Il y a de plus en plus de vent et les vagues sont de plus en plus grandes. Le vent est d’ailleurs glacial ! Et puis nous n’avons plus beaucoup de nourriture ! La coque du navire commencent à s’endommager. Les voiles se déchirent à cause du vent. Le pavillon s’est complètement décroché et a fini à la mer…

Aujourd’hui, nous sommes le 10 février 1789. Nous sommes arrivés sur l’Île de l’Oubli ! Il y a des provisions, donc nous allons passer quelques jours ici pour nous reposer. En visitant l’île, nous avons aperçu des villages mais les habitants ne parlent pas notre langue. Cependant, je constate que tous les soirs, les villageois se réunissent au bord de la mer autour d’un feu de camp. C’est étrange ! Sur cette île, il n’y a pas beaucoup d’arbres. Ils ont brûlé à cause des chaleurs. En plus, nous ne pouvons pas manger de viande car il n’y a pas d’animaux ! Ainsi, nous reprendrons demain la mer pour trouver une autre île.

Le 11 février, nous nous réveillons. Nous reprenons la mer pour trouver une autre île. Après trois heures de navigation, nous arrivons enfin sur l’île. Mais quand nous débarquons, nous nous faisons soudainement attaquer…

SPACHER Léa



En cette année 1672, je pars du port du Havre en France, le 19 juillet. Vos altesses m’ont ordonné, moi Steitz Maeva de partir en exploration, car je vais à New York. J’irai là-bas grâce à mon navire qui se nomme Le Bateau de Neptune. Je suis exploratrice, donc je me déplace beaucoup. J’ai effectué au cours de ma vie plein de voyages, comme par exemple en Afrique, en Allemagne, en Suisse, en Bulgarie, en Autriche et beaucoup d’autres pays encore plus extraordinaires les uns que les autres !



En ce huitième jour, je suis en mer. Je mets mon pavillon, je tire les voiles. Puis, je mets la nourriture et les boissons dans la coque de mon navire. Je vérifie que le mât fonctionne. Dernière chose, je regarde si la proue est bien en place. Je me trouve en mer Méditerranée. Il y a beaucoup de vent, de vagues, et le ciel est gris ! En ce qui concerne la nourriture, il y a tellement de vagues que cela a inondé du navire et donc mes provisions. Au moins les boissons resteront fraîches. Depuis mon départ, je ne me suis lavé qu’une fois et je ne me brosse pas les dents pour ne pas gaspiller de l’eau.



En ce quizième jour, alors que je navigue tranquillement en mer, je vois soudain une grosse vague qui vient sur mon bateau ! Mon navire s’échoue sur une île inconnue. Cette île est habitée par des naturels et des animaux. Il y a différents animaux comme des singes, des petites fourmis, des oiseaux, des serpents. Les personnes que j’ai rencontrées sont de taille moyenne, plutôt maigres. Elles portent des tuniques en tissu de lin. Ils ont pour habitude de manger un plat qui s’appelle le matada : c’est un plat à base de bambous, de morceaux de vers de terre et des fourmis ! Mais les personnes sont très sympathiques, agréables, douces et accueillantes, car quand je suis arrivée sur l’île, ils m’ont tout de suite proposé de manger un peu et de boire !



En ce vingt-cinquième jour, je m’apprête à partir de l’île inconnue. J’y suis quand même restée 10 jours ! J’étais arrivée sur l’île à cause du naufrage de mon navire, maintenant je peux repartir tranquillement, enfin je l’espère ! J’ai perdu du temps à cause de mon aventure, je vais naviguer vers New-York. Le trajet s’est bien passé car j’ai mis seulement cinq jours pour y arriver ! J’ai gardé un très bon souvenir de ce voyage, malgré les intempéries, car je me souviendrai longtemps des personnes que j’ai rencontrées sur cette mystérieuse île ! Au moins, je suis partie et arrivée vivante !


STEITZ Maeva



En cette année 1902, ma ville m’envoie, moi Louise Attaque, naviguer sur les océans. Je vais voyager sur le bateau se nommant Ilios. Je pars accomplir une mission qui m’a été confiée. Je prendrai d’assaut l’Australie ! Je suis sur mon bateau avec mes cinquante hommes et mes deux amiraux, Lorèce et Carlos. Je suis la capitaine de ce navire qui mesure quarante-cinq mètres de longueur et vingt-deux de largeur. Si je reviens saine et sauve de ce périple, alors je gagnerai le pouvoir de ma ville. Je suis prête à prendre d’assaut l’Australie pour qu’elle devienne indépendante et ainsi affaiblir l’ennemi.

Je navigue dans l’océan Indien depuis un moment. Nous sommes le 19 décembre 1904, cela fait maintenant presque deux ans que je suis en mer. Il y a eu récemment des problèmes avec la voile qui s’est décrochée et le mât. Tous ces phénomènes se sont produits à cause de la neige et du vent. La neige s’est posée sur le mât défectueux qui s’est cassé et la voile, avec la tempête, s’est déchirée. Sur le navire, la nourriture manque, et l’eau aussi mais nous essayons de récupérer de la neige pour la laisser fondre et en boire l’eau récoltée. L’hygiène, quant-à-elle, est assez bonne. Le bateau est propre car nous passons la serpillière deux fois par semaine. Les cabines des matelots sont inondées par la neige qui a déjà fondu et qui est allée dans la coque du bateau. Nous avions aussi touché une côte éraflant la poupe et la coque. Je ne sais plus quoi faire, ici, le travail est assez pénible.

Nous sommes le 27 Février 1905. Nous avons dû nous arrêter sur l’île Monéopathe parce que la voile s’était cassée. Elle a fini au fond de l’océan. Je pense y rester un bon moment. Nous allons donc nous réapprovisionner. Je vois sur cette île de nombreuses fleurs multicolores et de très grands arbres. Sur ces arbres se trouvent des cabanes faites de bambou et à l’intérieur vivent des personnes étranges qui étaient habillés de feuilles de palmier. Ils ont la peau pâle, les cheveux clairs et les yeux d’un bleu et d’un vert éclatants ! Leurs traditions sont telles qu’à chaque nouvel arrivant, ils offrent énormément à manger et font la fête autour d’un feu pendant toute la soirée ! Ce sont des autochtones extrêmement hospitaliers et heureux de nous accueillir.

Le 15 avril 1905, nous devons partir de nuit car les autochtones sont devenus trop encombrants et irrespectueux. Ils nous ont obligés à dormir dehors sous la tempête ! Nous avons réussi à partir sans sortir les armes. Mes compagnons et moi allons rejoindre notre bien aimée France mais ce périple n’est pas de tout repos ! Nous avons croisé des pirates qui nous ont tirés des canons et notre coque s’est ouverte. L’eau rentre à flots, et impossible de reboucher ce trou béant ! Je n’ai pas réussi ma mission,donc je n’aurai pas la gloire tant attendue… Adieu.

THOUVENIN Elijah



Moi, Jarvis Sana, je pars, en 1814, d'Odessa en bateau pour découvrir l'actuelle Chine car vos altesses m'ont promis que je deviendrai roi des îles que je découvrirai. Mon pays est en guerre, toutes les personnes trouvées sur une île seront enrôlées dans notre armée ! Aujourd'hui, 24 Novembre, à 18 heures, je pars avec dix bateaux et cent hommes par bateau. Je dis adieu, peut-être pour la dernière fois, à ma femme et à mon fils.

Cela fait un jour que je suis parti. Il fait plutôt beau. Dans chaque bateau, il y a de la nourriture pour au moins 1 mois ! Tous les jours, 10 marins nettoient le bateau de la poupe à la proue en passant par le mât, et même le pavillon. Nous sommes dans l'océan Pacifique depuis quatre nuits. Il y a parfois énormément de vent ! Nous avions prévu de fêter Noël en mer car tout le monde avait rapporté un cadeau pour l'offrir à quelqu'un d'autre. Je n'ai pas laissé mes matelots se doucher aujourd'hui afin d’économiser l’eau potable à bord.

Je suis en mer depuis deux mois. Le premier bout de terre est en vue. Il sera utile de faire une expédition pour nos scientifiques et leurs recherches. Nous accostons donc sur la plage. Les autochtones que nous rencontrons sont méfiants. Ils mesurent 1 mètre 20 et sont fortement enrobés. Je remarque qu’ils mangent une sorte de viande inconnue. Par ailleurs, nous avons perdu tout contact avec les autre bateaux. Quatre matelots et moi partons voir ce qui se passe. Les autochtones ont pris tous les bateaux et ont enfermé les matelots dedans. Ils nous remarquent et nous poursuivent. Nous trouvons heureusement refuge derrière une cascade.

Cela fait trois jours que nous vivons cachés, derrière cette cascade. John est mort de faim et de soif. Christian nous a ramené, à chacun, dix roses bleues à manger, mais ce n’est pas suffisant pour survivre. deux autres marins ont essayé de partir mais les autochtones les ont attrapés. Au bout d’un moment, je sors moi aussi ! Je me suis caché dans la forêt pendant un mois mais ils sont sur mes traces… Au revoir, cher(s) lecteur(s).

THOUVENIN Ethan


En cette année 3109, je pars de la France vers Tahiti toute seule. Moi, Venner Émeline, je navigue par obligation, avec le meilleur bateau que j’ai inventé, qui se nomme Bayos. Je dois y aller car mon travail consiste à construire des navires personnalisés. J’en profiterai aussi pour y passer mes vacances et pour explorer l’île.

En ce 28 avril, j’ai percuté un rocher. Je pense donc accoster aux côtes du Sahara dans les heures qui suivent car la proue est cassée et l’eau est arrivée jusque dans la coque. Cependant les voiles, le mat et la poupe sont intacts. Je me trouve dans l’océan Atlantique Nord. Et en cette nuit de pluie du 30 avril, on m’a appelé pour que je vienne construire des bateaux à la Réunion avant d’aller à Tahiti. Étant au Sahara, j’ai engagé une équipe de matelots pour qu’ils lavent mon bateau et je me suis aussi réapprovisionnée.

En ce 30 mai, je suis en route pour la Réunion. Le lendemain, il y a eu beaucoup de pluie. Quand je me suis réveillée, j’ai cru l’apercevoir. Je me suis donc arrêtée sur l’île. Lorsque j’y suis arrivée, j’ai vu un peuple différent du mien. Je leur ai demandé si j’étais sur l’île de la Réunion mais ils m’ont dit que je n’y étais pas. Ils ne veulent pas me dire où je suis ! Cette île est très fleurie et colorée. Les habitants m’ont l’air très gentils et il n’y a que des biches, girafes et ânes comme animaux. Les enfants ne vont pas à l’école. Les filles se teignent les cheveux en rouge, rose ou violet et les garçons en vert, bleu ou orange. Arrivés à l’âge adulte, ils reprennent leurs couleurs naturelles. Ce peuple s’habille comme nous avec des jeans et des tee-shirts. Ils sont très sympathiques et généreux, ils m’ont d’ailleurs offert, dès que je suis arrivée, à boire et à manger. Ils m’ont aussi construit une cabane.


Le 25 décembre, cela fait maintenant quelques mois que je suis restée avec ces autochtones. Je leur ai appris à fêter Noël et je pense restée sur cette île car je m’y sens très bien. Ils m’ont proposé du mon travail ici et j’ai accepté ! Maintenant, grâce à mes bateaux, ils peuvent découvrir d’autres îles et ils arrivent mieux à pêcher. Je leur ai aussi appris mes traditions et eux les leurs.


Fin




Émeline Venner


En cette année 1915, je pars de Versailles. Moi, Jean-Johnson Sauveteur, vais prendre le bateau en direction de l’Afrique pour aider les Africains qui souffrent à cause de la guerre. Je dois accomplir cette mission en aidant les plus démunis à se réfugier. Je prends le bateau accompagné de tout mon équipage.

Le 7 décembre 1915, le bateau est en mer. Tout se passe bien pour l’instant et nous voyons au loin des baleines. Le 10 décembre 1915, une horrible tempête de neige s’est abattue sur nous. Nous ne voyons plus rien, le vent souffle à plus de 200 km/h et le bateau tangue. Mes hommes courent partout pour ne rien perdre, certains glissent et se blessent, d’autres tombent malades. Les provisions commencent à pourrir et à moisir. D’ailleurs, les rats ont mangé une bonne partie de nos vivres !

La tempête s’est calmée. Nous apercevons au loin une terre sauvage avec des lion, des éléphants et des girafes. Nous décidons de nous arrêter par curiosité et afin de voir s’il y a des hommes qui y vivent. Nous avons rencontré beaucoup de femmes et d’enfants. Les hommes sont toujours à la chasse, habillés d’une jupe en paille et armés d’une lance. Les femmes, habillées de longues robes, vont à la rivière et remplissent les seaux qu’elles portent sur la tête. Ils aiment tous se retrouver autour d’un feu et danser pour faire disparaître les mauvais esprits.

Je voulais tellement apprendre sur ce peuple que j’ai décidé de vivre ici le temps que la guerre s’arrête. Je me suis construit une cabane où je me sens comme chez moi. La vie est dure mais j’aime ce pays sauvage. Hélas, j’ai attrapé une maladie incurable et mes jours sont comptés. Je n’oublierai jamais ce voyage qui m’a apporté tant de choses.

Jean johnson 1930


VILMIN Damien


Aujourd’hui, mardi 12 août 130 000, nous, humains, sommes sur Tenros. Je m’appelle Kagami, chef de l’équipage de Fairy tail Je suis le fils de l’ancien chef d’équipage. Moi et mon équipage partons sur Earth land : notre objectif est d’aller éliminer des personnes malfaisantes et d’évacuer les civils, les innocents. Le Conseil m’a donné des informations sur la mission. En récompense, j’aurai le grade de mage sacré. Pour y aller, nous prendrons Le Cristiner 2000 afin de nous rendre sur Earthland. Les membres de l’équipage sont Erza, Natsu, Grey, Gildarts et Luxus. Nous partirons après avoir récupéré notre magie.



Nous mettons les voiles et allons dans l’espace avec notre bateau de la taille d’un yacht. Pour prendre de la vitesse, nous enclenchons une poussée orbitale au niveau de la poupe. Nous nous nourrissons de chips ou encore de foies gras. L’hygiène est impeccable sur le bateau ! Mais nous risquons, lors de notre voyage, de subir des forces orbitales qui pourraient nous faire dévier de notre trajectoire. Au cinquième jour, nous voyons au loin un trou noir, à seulement mille kilomètres d’après les cris d’un membre de l’équipage. Nous réussissons à contourner cet obstacle et les membres de l’équipage retrouvent donc le sourire.



Nous sommes dans l’espace à un milliard d’années-lumière de notre destination. Deux jours plus tard, nous arrivons sur la planète nommée Excalia. Les habitants sont très sympathiques. Ils ressemblent fortement à des chats. Ils habitent dans des huttes. La planète est remplie de plaines, de forêts et de rivières. Elle a des fleurs gigantesques ! Les autochtones ont pour tradition d’aller prier toutes les semaines dans leur églises. Malheureusement, des bandits sont venus nous attaquer. Heureusement, des habitants se sont joints à nous pour les faire fuir. Pour fêter cette victoire, les autochtones ont organisé un spectaculaire banquet !



Nous avons quitté cette planète au bout du 34ème jour. Nous avions exploré plus de 3/4 de la planète mais nous les habitants se faisaient de plus en plus attaquer par des bandits. J’appris cependant, avant de repartir, que Earth land avait été détruite par des bandits. Mon équipage et moi sommes donc repartis sur Tenro afin de tout raconter au Conseil.

WEBER Louis