Si lon considère les deux formes limites dun carbonyle :

la contribution de la forme (II) détermine
un déplacement partiel du doublet p
vers O . Cet effet mésomère nest important que dans une structure où le groupe
accepteur (C=O) est conjugué avec un groupe donneur délectrons
:
Les effets mésomères sont négatifs lorsquil y a acceptation délectrons (C=O), et positifs lorsquil y a don délectrons

Les atomes présentant un doublet libre peuvent le donner pour former une liaison p avec latome voisin. Cette tendance diminue dans une même période avec laugmentation de lélectronégativité, mais, dans une même colonne, diminue avec laugmentation de la taille de latome.
Les groupes alkyles présentent un effet +E par hyperconjugaison. Cet effet diminue lorsque la substitution augmente sur le carbone.

Les charges négatives confèrent un très fort effet +E. La substitution dun groupe +E par un groupe -E diminue leffet +E du premier

Les fonctions insaturées peuvent accepter un doublet, par conversion de leur double liaison en un doublet n :

Cette tendance est dautant plus forte que latome accepteur est plus électronégatif :
> ![]()
Cet effet est considérablement augmenté si latome
possède une charge
:

Il est diminué sil est compensé par conjugaison avec un groupe donneur
Ceci rend compte de la diminution de leffet E dans la série :

Autre exemple important : 
Les effets E se transmettent par les systèmes p conjugués, alors que les effets I se transmettent le long des liaisons s .
groupement |
E |
I |
+ I |
+ E |
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´ ´ ´ ´ |
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´ ´ ´ |
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´ ´ ´ |
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´ ´ ´ |
´ ´ ´ ´ |
||
2. Structure de la double liaison.
Lénergie de liaison vaut 606
. Grâce à la méthode OM (voir infra), on peut
déterminer lénergie de la liaison p (b
pour une molécule,
Nb pour une mole). On trouve 188
pour
. La liaison
s faisant partie de cette double liaison a donc une énergie de 418
.
On remarque que cette énergie est plus élevée que celle
dune liaison s classique (347
). Ceci est lié au
raccourcissement de la liaison : 0,1544 nm pour C—C et 0,1334 nm pour C=C. La
liaison s est donc très solide,
alors que la liaison p est facile à
rompre : cest elle qui fait la réactivité des alcènes.
Ce doublet p de liaison est riche en électrons, qui sont relativement peu retenus par les atomes de carbone. Ces électrons seront donc très facilement sollicités par les groupements pauvres en électron, dits électrophiles. Le doublet p a donc des propriétés nucléophiles importantes. Comme on étudie généralement laction des agents extérieurs sur lalcène, on parlera dadditions et de substitutions électrophiles sur la double liaison.
3. Nomenclature et propriétés physiques.
On remplace le suffixe -ane par le suffixe -ène.
Quelques noms usuels : propylène pour propène
. Les cycloalcènes trans
nexistent que si
.
La nomenclature est un peu particulière pour certains cycles :
a -pinène ou 2,6,6-triméthyl-bicyclo [2,2,1] hept-2-ène

méthylènecyclobutane
3.2. Moment dipolaire des alcènes.
À cause de la rigidité de la molécule, il existe un moment dipolaire pour les molécules dissymétriques :

Ainsi quon le voit en spectroscopie, la circulation des électrons dans le système p crée un champ induit qui fait résoner les protons pour un champ plus faible à lextérieur du cône danisotropie, et pour un champ plus fort à lintérieur de ce cône. Donc les protons éthylèniques résonnent à champ faible :
d = 5,64 ppm pour léthène.
zone A : intérieur du cône danisotropie, déplacement de la résonance vers les champs forts .
zone B : déplacement vers les champs faibles.
Exemple du propène : massif très complexe entre 4,9 et 5,3
ppm 
Létude de lhydrogènation de divers alcènes isomères en un alcane identique permet de comparer les stabilités des doubles liaisons en fonction de leurs substituants.
Exemple : comparaison du but-2-ène Z et du but-2-ène E
= enthalpie
dhydrogènation du but-2-ène Z
= enthalpie
dhydrogènation du but-2-ène E

Cette différence de stabilité provient des contraintes stériques, plus importantes dans le Z que dans le E.
Autres exemples :
les doubles liaisons exocycliques sont moins stables :


![]()
![]()
![]()
la substitution par des groupes donneurs augmente la stabilité de la double liaison :
![]()
3.5. Hydrogènation catalytique.
Lhydrogénation des alcènes est exothermique (cf 3.4.), mais son énergie dactivation est élevée et elle nécessite un catalyseur pour que sa vitesse soit significative. Le diagramme énergie / avancement est le suivant pour cette réaction :
I : état de transition du type ![]()
II : état de transition du type ![]()
où M est un atome du métal catalyseur
(on a a aussi à ce moment là) ![]()
III : état de transition du type ci-contre où les atomes du métal
permettent, grâce à leur disposition, le rapprochement des atomes de C et de H.
Le métal le plus utilisé est le Nickel. Le palladium peut également permettre lhydrogènation les alcènes très réactifs. Le nickel nécessite une température de 25°C et une pression de 50 bars en hydrogène. Par contre, le palladium et le platine permettent dhydrogèner sous une pression de 1 à 4 bars. Comme on le voit ci-dessus, laddition est syncoplanaire. Ainsi, le 3,4-diméthyl-hex-3-ène Z sera-t-il hydrogèné en 3,4-diméthyl hexane méso.

On peut aussi utiliser la diimide, formée in situ :
![]()
4. Addition électrophile sur la double liaison.
4.1. Mécanisme.

Cet ion " onium " existe sous deux formes mésomères :

La première forme permet dexpliquer la stéréochimie de laddition électrophile, la seconde son orientation.
4.1.1. Stéréochimie de laddition.

Lion " onium " (B) ne peut être attaqué par le nucléophile A associé à lélectrophile quà lopposé du cycle trigonal. Lun ou lautre carbone peut être attaqué.
Cette stéréospécificité est cependant relative. Elle dépend de la stabilité de l'ion "onium" intermédiaire. Celle-ci est importante avec un atome E gros et polarisable comme le brome, partielle avec le chlore, inexistante avec l'hydrogène. C'est pourquoi cette stéréospécificité s'applique lors de l'addition de Br2 ou de BrOH, pour lesquels l'électrophile est Br+ , alors que l'on n'en tient pas compte lors de l'addition de composés à hydrogène mobile tels que l'eau.
4.1.2. Orientation de laddition.
Celle-ci dépend de la position du carbocation intermédiaire (B). Ce sera le carbocation le plus stable (état intermédiaire) qui conduira à la vitesse de formation du produit final le plus rapide. Il nous faut donc étudier les carbocations.
4.2. Les ions carbéniums (ou carbocations).
4.2.1. Structure.
Ils sont hybridés sp2 , avec une orbitale vacante pz
Ils sont stabilisés par les effets + I :
|
727 |
811 |
941 |
1078 |
![]() |
![]() |
|
![]() |
ou par les effets + E (résonance ) :



Certains carbocations sont très instables et se réarragent immédiatement par attaque électrophile intramoléculaire dun doublet s , pour donner un carbocation plus stable (secondaire ou tertiaire): cest le réarrangement de WAGNER - MEERWEIN.

départ dun anion, ou dazote :


départ dun groupe électronégatif à la suite de lattaque de ce groupe par une structure électrophile :


attaque dun doublet p :


![]()
4.2.4. Orientation de laddition électrophile sur les alcènes.
Laddition dun composé hétéroatomique (HCl par exemple) se fait donc de manière à ce que le carbocation intermédiaire obtenu soit le plus stable. Cest la règle de MARKOWNIKOW :
Lorsquun alcène nest substitué que par des groupes alkyle, laddition électrophile se fait de manière à ce que le groupe électrophile se fixe sur le carbone le moins substitué :
![]()
Exception: lorsque lun des carbones sp2 est substitué par des groupes attracteurs, lélectrophile se fixe sur ce carbone :
![]()
4.3. Vitesse de laddition électrophile.
Celle-ci est dautant plus rapide que létat de transition correspondant à la réaction lente (lattaque de lélectrophile) est plus stable : il suffit de connaître lénergie de formation du carbocation intermédiaire, proche de celle du premier état de transition. La vitesse est donc dautant plus importante que les substituants sont donneurs. La stabilité des produits finaux étant semblable, la réaction sera surtout cinétique.
4.4.1. Addition dacides.
![]()
Par exemple laddition de HCl, HBr, CF3COOH
sur léthène CH2 == CH2 donne CH3CH2Cl,
CH3CH2Br, et CH3CH2OCOCF3. Ces
acides libèrent facilement des protons. Dautres sont beaucoup moins forts et
libèrent peu de protons. Il faut alors ajouter des protons grâce à un acide fort
présentant un anion peu nucléophile tel que
. Lacide sulfurique ou lacide paratoluènesulfonique
sont de très bonnes sources
de protons. Ainsi, lon peut additionner des acides faibles présentant des anions
nucléophiles tels que H2O ou CH3COOH en présence de tels acides
forts :
![]()
Pour obtenir le 2,2-diméthyl-propanol-2, dont le carbocation intermédiaire se forme très facilement, on utilise industriellement H2SO4 à 10% à 25°C, milieu suffisamment protonant pour hydrater le 2-méthyl-propène :


sous leffet du champ créé par les électrons de
léthylènique, les halogènes sont polarisés et apparaît un cation électrophile
et un anion nucléophile :
. Laddition, comme précédemment est anticoplanaire. La stéréochimie
des produits obtenus dépend de ce mécanisme :

4.4.3. Formation dhalohydrines.
![]()
de même avec
ou ![]()
Laddition est anticoplanaire (stéréospécificité stricte avec HOBr).
4.4.4. Dimérisation cationique.
Cette réaction est catalysée par les acides :

Le 2,4,4-pent-1-ène est plus stable à cause de la répulsion entre les groupes tertiobutyl et méthyl du 2,4,4-pent-2-ène.
Voici le mécanisme:
Si H2SO4 est trop concentré, on peut obtenir un polymère, car H+ nest plus arraché par leau.
5. Additions radicalaires sur les alcènes.
En présence dinitiateurs radicalaires, les halogènes et le bromure dhydrogène se décomposent en radicaux :
![]()
![]()
Lorsque lon fait réagir HBr sur un alcène en présence de peroxyde, le véritable électrophile est Brl : cest le radical le plus stable et le plus réactif, contrairement à Hl . On obtient une addition dont lorientation est antimarkownikow : cest leffet KARASCH :
initiation
propagation
Cette réaction se fait bien avec HBr, mais pas du tout avec HCl ni HI.

Cette réaction peut se faire avec les hydrures de bore ou les hydrures daluminium, mais principalement avec le diborane B2H6 :
On obtient des trialkylboranes qui sont des intermédiaires réactionnels très importants.
6.1. Orientation de laddition.
Cette addition est
" syncoplanaire " :
Cela ressemble à laddition de H2 en présence de catalyseur.
Le bore se fixe sur le carbone le moins substitué par des groupes donneurs, car B est moins électronégatif que H.
6.2. Réaction des alkylboranes.
6.2.1. Hydrolyse.
Celle-ci ne se fait bien quen milieu acide faible (CH3COOH + H2O). H2O attaque dabord le bore, puis un H+ substitue du même côté le bore :

Lhydroboration suivie dune hydrolyse acide conduit donc à une hydrogènation syncoplanaire dun alcène.
6.2.2. Hydrolyse oxydante par le peroxyde dhydrogène.
Cette réaction se fait en milieu basique. OH substitue B également du même côté.
![]()

Lhydroboration suivie de laction du peroxyde dhydrogène en milieu basique conduit à une addition dH2O syncoplanaire et antimarkownikow sur un alcène.
6.2.3. Autres réactions des alkylboranes.
La réaction du sulfate dhydroxylamine H2N O SO3H sur lalkylborane conduit finalement à laddition syncoplanaire et antimarkownikow de NH3 sur lalcène :
![]()
De même :
![]()
Et :
![]()
7. Autres additions
Ce procédé permet de synthétiser industriellement des
aldéhydes puis des alcools par addition de monoxyde de carbone et dhydrogène sur
un alcène en présence dun catalyseur qui est généralement
loctocarbonylodicobalt
:
![]()
Cet aldéhyde peut ensuite être réduit en butan-1-ol
Ils sont fortement électrophiles par leur lacune et attaquent les doublets p et s :

8. Réactions doxydation.
Industriellement, loxiranne (ou oxyde déthylène, ou époxyde), est synthétisé par oxydation en présence dargent :

Au laboratoire, les peracides organiques oxydent les alcènes en oxirannes :

La vitesse de la réaction sera dautant plus importante que la double liaison est substituée par des groupements donneurs délectrons.



Mais ce mécanisme nexplique pas la rétention de configuration des carbones marqués *. Aussi est-il plus correct denvisager un mécanisme totalement concerté.

Laddition est donc cis : le but-2-ène Z donne ainsi le 2,3-diméthyl oxiranne méso :
Si on utilise un peracide fort (HCOOOH), lépoxyde formé intermédiairement est hydrolysé en anti-hydroxy-ester, car la base HCOO

Lhydrolyse alcaline de cet a-hydroxy-ester donne un diol-1,2. Le résultat est une anti-bis-hydroxylation. On obtient le même résultat en formant in situ lacide perméthanoïque :

8.2. Syn (ou cis) hydroxylation.
Deux réactifs essentiels :
, K+ et OsO4 (cher et
toxique)


Ainsi le but-2-ène Z donnera-t-il le buta-2,3-diol méso par ce type de réaction.
O3 réagit à basse température avec tous les alcènes :


Les ozonides sont dangereux et explosifs. Ils sont ensuite traités par divers réducteurs pour donner des aldéhydes et cétones isolables et identifiables : Zn, CH3COOH ou H2/Pd , I , PF3. Si on décompose lozonide par un excès deau oxygènée dans lacide acétique, on obtient un acide, dans le cas où le traitement réducteur donne un aldéhyde.
Cest loxydation catalysée de léthène en
éthanal par loxygène de lair. Le catalyseur est le chlorure palladeux ![]()



Puis Pd0 est oxydé par Cu2+
![]()
Loxygène de lair oxyde ensuite Cu :
![]()
Globalement, la réaction sécrit donc :

![]()
8.5. Oxydation par les halogènes.
Oxydation allylique : à haute température ( > à 500°C), le chlore opère une substitution radicalaire sur les hydrogènes d'un carbone sp3 (tétraèdrique) situé en a d'une double liaison Carbone Carbone :
![]()
9. Les diènes conjugués.
Ce sont des diènes n, n+2. Leurs propriétés sont différentes de celles des diènes isolés (n, n+m, avec m > 3) ou des diènes cumulés tels les allènes :
R CH = C = CH R

Le propadiène en est un. Appelé aussi "allène". La géométrie des liaisons est la suivante :

Les deux systèmes p étant perpendiculaires, les liaisons a et b sont dans un plan perpendiculaire au plan contenant les liaisons c et d. Cela entraîne lisomérie "allènique", qui est une isomèrie optique.
Pour quil y ait isomérie "allènique, il suffit que les deux carbones terminaux ne portent pas de substituants identiques.
9.1.2. Diènes conjugués: résonance.
Nous avons déjà vu comment la conjugaison augmentait la stabilité de ces molécules (cf énergie de résonance). Celle-ci peut être mise en évidence par la comparaison des enthalpies dhydrogènation du buta-1,3-diène s-trans (-238,7 kJ.mol1) et du penta-1,4-diène (-254,1 kJ.mol1). Le premier est conjugué, lautre pas, tout en possèdant le même nombre de doubles liaisons. Lénergie de résonance vaut donc 15,4 kJ.mol1.
Dautre part, la nucléophilie de ces alcènes augmente, car la plus haute orbitale occupée, qui contient le doublet nucléophile, a une énergie moins basse que dans le cas des alcènes, donc ce doublet est plus disponible. La réactivité des diènes conjugués est donc plus importante que celle des alcènes.
9.2. Additions électrophiles conjuguées.
La vitesse de réaction est augmentée, car le carbocation intermédiaire est stabilisé par résonance avec la double liaison restante :

Les proportions relatives dépendent de la température, de la durée de la réaction et du solvant.
Les solvants polaires favorisent laddition 1-4.
Un temps de réaction important crée des conditions propres à un contrôle thermodynamique, nous allons voir que dans ces conditions, cest laddition 1-4 qui est favorisée.
À 60°C, on obtient, pour la réaction précédente, 80% de 1-2 et 20% de 1-4.
À +25°C, on obtient 20% de 1-2 et 80% de 1-4.
Comme nous lavons montré, le premier cas correspond à un contrôle cinétique de la réaction, le second à un contrôle thermodynamique :

Le carbocation le plus stable est le carbocation secondaire. Lalcène final le plus stable sera celui où la double liaison est la plus substituée.
9.3. Cycloadditions. Réaction de Diels-Alder.


Cest une addition 1-4 dun alcène à un diène conjugué : cest une cycloaddition car elle donne un composé cyclique. Pour réagir, le diène doit être de conformation s-cis. La réaction est dautant plus rapide que lalcène (ou philodiène) est pauvre en électron (substitué par des groupes attracteurs délectrons) et que le diène en est riche.
Exemple :


Les configurations sont conservées, donc les liaisons s se forment avant la rupture des p.

Quand le diène est cyclique, deux isomères sont obtenus :

Cest létat de transition qui donne ladduct endo qui est le plus stable.
Ces réactions sont des réactions en chaîne. Elles sont catalysées par la plupart des entités instables: cations ou acides de Lewis, anions, radicaux. Les éthylèniques les plus réactifs sont ceux qui sont riches en électrons, donc substitués par des groupements donneurs. Par exemple:

Les polymères obtenus à partir de diènes peuvent se relier par concaténation. Par exemple, le copolymère isobutène-isoprène donne par concaténation le caoutchouc butyle:

La polymérisation anionique se fait par exemple grâce aux
composés suivants :
,
Li.
Lisoprène est ainsi polymérisé par Li en caoutchouc corail, presque entièrement cis (alors que le caoutchouc naturel est entièrement cis)

Les polymérisations radicalaires sont catalysées par les
peroxydes, tels le peroxyde de benzoyle
. On obtient le polystyrène :

11. Méthodes de synthèse des alcènes.
11.1. Déshydrohalogènation des halogènures dalkyle.
![]()
11.2. Déshydratation des alcools.
![]()
11.3. Déshalogènation des halogènures vicinaux.
![]()
11.4. Pyrolyse dhydroxydes dammonium quaternaires ( réaction dHoffmann).
![]()
11.5. Pyrolyse des esters.
![]()
11.6. Pyrolyse des oxydes damine.
![]()
11.7. Réaction de WITTIG.

11.8. Réduction des acétyléniques.
