Critique Rogue One: A Star Wars Story

Situé entre l’épisode III et IV, un groupe d’individu ordinaire se retrouve avec une mission pouvant changer l’issue de la Guerre opposant l’Empire à la Rébellion: voler les plans de l’Etoile noire( ou Étoile de la Mort en français), l’arme destructrice de planètes.

Ce film présente tout de suite une atmosphère plus sombre que la trilogie originale et se rapproche plus d’un film de guerre avec quelques blagues assez bien placées et ça lui va bien. Le scénario reste très simple mais on ne pouvait pas s’attendre à mieux venant d’un film dont on connait tous la fin. Cependant le film souffre de grosses faiblesses pouvant nuire à l’appréciation. Notamment le premier acte qui est très lent et ne sert pratiquement à rien à part à essayer de développer des personnages dont on ne comprend pas les ambitions et les convictions et qui sont identifiés à un seul trait de caractère, que ce soit la foi en la force ou l’envie de retrouver son père. Et c’est faible pour un Star Wars que d’avoir des relations entre les personnages faibles et sans réelles convictions (comme dans Star wars 7). Il y a même un personnage dont on n’entend qu’une ou deux fois et on ne sait absolument pas pourquoi lui et son ami sont là si ce n’est que c’est écrit dans le script.

Malgré ces quelques défauts, le film reste sympathique et le dernier acte enchaîne ce pourquoi on aime Star Wars. Sortie de la salle, vous n’aurez qu’une envie c’est de vous refaire la saga et c’était la priorité donc pour moi Rogue One est un pari réussi et redonne ses lettres de noblesse à Disney et Star Wars après un Star Wars 7 peu inspiré (pas du tout ?). Il ne reste plus qu’à patienter jusqu’à l’année prochaine pour notre dose annuelle de Star Wars.

R.I.P Carrie Fisher

Gabriel Lucchiaro

Une pensée sur “Critique Rogue One: A Star Wars Story

  • 3 janvier 2017 à 12 h 59 min
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    Le fait que Rogue one (en grande partie ) soit lent ,est dut au fait que le réalisateur (Gareth Edwards) fait le plus souvent des films lents Cf. Godzilla (2014) pour ce qui l’on vu . Cela n’enlève au fait que la première parti aurai était dispensable (plus courte ) pour instauré un meilleur rythme au film .
    Par ailleurs , en parlant de space-opera ferez-vous une critique de « Valérian », notre STARWARS bien français produit par Luc Besson ? Cf. http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19566253&cfilm=237821.html

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