Sortir de la morosité du confinement : Un jour, deux musiques classiques.
Là où la proximité sociale est au plus bas, là où claustration et exil se lient pour tarir les cœurs, rien de mieux qu’une once d’apaisement par le 4ème art pour se reconstruire et triompher de cette période morose à travers un contentement musical.
Pour le premier jour, il est bon de se confronter à la grandeur d’Antonin Dvörak dans sa 9ème symphonie du « nouveau monde », plus spécialement l’op.95, B.178 interpété par Herbert von Karajan dans l’orchestre philarmonique de Viennes.
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Le second morceau choisi, toujours d’une grandeur et d’une pesanteur inouïe, l’Acte III du crépuscule de dieux de Wagner, l’imprésentable : marche funéraille de Siegfried inteprété par l’équipe de Mariss Jansons, de l’orchestre philarmonique d’Oslo.
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Cédric Rossi.