LES ROCHES MAGMATIQUES
Les roches magmatiques sont issues du refroidissement d'un magma.
Les roches volcaniques proviennent de l'épanchement en surface du magma. Elles présentent des textures de refroidissement rapide (microlitique ou vitreuse).
Les roches plutoniques proviennent du refroidissement du magma en profondeur. Elles présentent des textures de refroidissement lent (texture grenue).
Remarque :
les roches mantelliques (péridotites) sont intégrées dans les classifications ci dessous.
Les roches volcaniques proviennent de l'épanchement en surface du magma. Elles présentent des textures de refroidissement rapide (microlitique ou vitreuse).
Les roches plutoniques proviennent du refroidissement du magma en profondeur. Elles présentent des textures de refroidissement lent (texture grenue).
Remarque :
les roches mantelliques (péridotites) sont intégrées dans les classifications ci dessous.
CLASSIFICATION DES ROCHES MAGMATIQUES
Classification simplifiée
Basée sur les minéraux clairs présents.
On complète leur description par l’inventaire des autres minéraux présents (micas, amphibole, pyroxène, olivine). Exemples : granite à 2 micas, basalte à pyroxène.
Classification internationale ou classification de Streckeisen (1974)
Basée sur les proportions de minéraux clairs présents dans la roche :
- quartz, feldspaths alcalins et plagioclases pour les roches excédentaires en silice ou « saturées »
- feldspathoïdes, feldspaths alcalins et plagioclases pour les roches déficitaires en silice ou « sous-saturées ».
On complète leur description par l’inventaire des autres minéraux présents (micas, amphibole, pyroxène, olivine).
- quartz, feldspaths alcalins et plagioclases pour les roches excédentaires en silice ou « saturées »
- feldspathoïdes, feldspaths alcalins et plagioclases pour les roches déficitaires en silice ou « sous-saturées ».
On complète leur description par l’inventaire des autres minéraux présents (micas, amphibole, pyroxène, olivine).
Pour les roches sans minéraux clairs ou en contenant moins de 10% (roches dites « ultrabasiques »), la classification est basée sur les proportions d’olivine, orthopyroxène et clinopyroxène.