La Course aux Nombres

Le concours de la course aux nombres a été créé par le service pédagogique de l’AEFE (Agence pour l’Enseignement Français à l’Etranger). De nombreux établissements scolaires français à l’étranger y participent chaque année.
L’épreuve consiste à répondre dans un délai de 9 minutes à 30 questions d’activités mentales (7 minutes pour 20 questions pour les classes de cycle 2). Les calculs écrits intermédiaires ne sont pas autorisés.

Les sujets pour sont conçus par des équipes de professeurs du 1er degré et du 2nd degré des académies de Strasbourg, de Nancy-Metz, de Versailles, de Normandie et de Lyon.

Des sujets sont réalisés
pour chaque niveau des classes des cycles 2, 3 et 4 ;
pour chaque niveau du lycée professionnel ;
pour le lycée général et technologique :

  • un sujet pour les secondes,
  • un sujet pour les élèves de première suivant l’enseignement de mathématiques de spécialité,
  • un sujet pour les élèves de première de la voie générale ne suivant pas l’enseignement de mathématiques de spécialité,
  • un sujet pour les élèves de première de la voie technologique,
  • un sujet pour les élèves de terminale suivant l’enseignement de mathématiques de spécialité,
  • un sujet pour les élèves de terminale de la voie générale ne suivant pas l’enseignement de mathématiques de spécialité,
  • un sujet pour les élèves de terminale de la voie technologique,
  • un seul et même sujet pour les classes de 1re et 2nde année de STS tertiaires ;
  • un seul et même sujet pour les classes de 1re et 2nde année de STS industrielles.

Objectifs de la mise en place de la course aux nombres :
Pour les élèves, la préparation à ce concours vise à développer des aptitudes pour le calcul réfléchi et à construire de multiples automatismes numériques et géométriques.
Ces objectifs s’inscrivent pleinement dans ceux définis par les programmes scolaires et sont plébiscites dans le rapport Villani-Torossian.

Ce concours permet également de cultiver l’inter-degré, la liaison collège-lycée et de renforcer la culture de cycle. Il peut par exemple être envisagé que les élèves de 6e conçoivent un sujet pour les élèves de CM2 ou inversement.